lundi 27 février 2012

OsS 117



Alors que triomphe Jean Dujardin, que brille pour l'occasion et comme trop rarement l'étincelle patriotique, notre visage s'habille d'un franc sourire devant la reconnaissance internationale envers un gars qu'on a tous vu démarrer dans notre salon, Ranx Ze Vox en profite pour saluer le talent visionnaire de notre 7red
Écrit lors de la sortie des excellents OSS 117 (rare exemple où le 2 surpasse le 1 pourtant déjà sacrément réussi) ce petit papier célébrait, déjà en son temps, un acteur auquel on souhaite sincèrement que ça dure. Égoïstement, à dire vrai, puisqu'il fait partie des quelques-uns, seulement, qui nous régalent.




En ces temps sinistres où l’humour sonne un peu trop élyséens à mon goût, OSS 117 au secours de la comédie, une bouffée d’air frais !

C’est con, un peu balourd, des fois méchant mais ça regonfle la bécane, ouais l’esprit aussi loufoque que mauvais existe encore et aujourd’hui où des barbares, au nom de la morale, sucrent la pipe de Jacques Tati sur les affiches lui rendant hommage, comment ne pas se régaler d’un peu de mauvais goût ?

On pourrait becter ensemble.

Si y’a bien un truc avec lequel on est tous d’accord, c’est les bienfaits du partage d’une bonne table, surtout ce qu’y’a d’ssus en fait, avec une poignée de collègues et quelques bonnes bouteilles.
Une fois les lascars repus de toutes ces bonnes choses, calés comme des princes devant une stéréo et des piles de disques où aller chercher sur quelle prochaines connerie notre esprit embrumé et nos sens tout de délicatesse vont pouvoir rebondir.


Superbes moments que ceux là, où la mauvaise foi s’affronte au mauvais goût, où le coté Rock de la chose, désinhibé par, j’ose à peine le dire, des litres d’alcool, se laisse aller à ses élans les plus cruels, délicieuse mixture à base de second quand c’est pas de sixième degré, d’un sens toujours approximatif des faits et de l’histoire, le tout gratiné d’une couche de révisionnisme et de mauvaise foi qui nous fait même plus honte.

Y’a des individus avec qui se serait plaisir de becter, et ouais je pense que le type Dujardin doit pas êt’ un convive avec qui tu t’emmerdes trop. Pour ce que j’en ai vu ces jours ci où Monsieur fait la promo du nouveau OSS 117, ça a plutôt l’air d’êt’ un bon gars et même si j’ai absolument pas l’intention de me précipiter vers le cinoch le plus proche, je suis particulièrement ravi d’en placer une sur ce type.


Loin de ce cinéma à l’humour 16ème haronddis’ment, OSS 117 nous replonge dans le cinoch à papa, joly bagnoles, belles pépées, images du passé, distorsion de l’histoire et surtout remise au goût du jour d’un héros dont personne ne se vantera jamais d’l’avoir dans ses potes.
Crétin, suffisant, la touche de racisme que n’importe quels grands connards ignares trimbalent comme un enjoliveur, le Magnifique de Belmondo en f’rait presque tout pâle !

Enfin du mauvais goût, de la réflexion hasardeuse, et surtout, oui surtout, une énorme dose de j’me prend pas au sérieux, un pur régal.

Un cinoch qu’est calqué sur rien, ou que du bon !
Clin d’oeil aux années 50 et 60, ça porte des flingues, ça dézingue, ça pense de travers et ça l’exprime. 
De l’humour, ouais tout plein, second degré même 18ème, voir ce grand con se régaler d’un panorama, très joly il est vrai mais y’a bien longtemps que personne n’avait plus osé mettre ça en boîte, c’est plus proche des Monty Python que de la triste bande du splendid, et ça j’aime !


Quand au lascar, il a pas l’air pour autant de se prendre pour un Zartiste, non, juste un acteur qui se régale, avec ce qu’il aime. Et bizarrement ça passe.

Y’en a quelque z’un comme ça, peut pas dire pourquoi mais z’ont fait mouche !


Comme ce type là, Albert Dupontel, vu y a très longtemps dans un sketch où il interprétait un avocat défendant un violeur, pas facile !
Me souvient que même si j’ai pas trop ri, suis rester bloqué d’vant, le délire de ce type m’a touché. Depuis y a eu des films, que j’ai pas trop vu, mais dont je suis certains qu’il y a quelque chose à tirer. Ce type propose son univers, sans doute pas celui qui marche en ce moment mais son univers, comme un Tati justement l’a fait.

Avec OSS, on reste dans le sûr, mais génialement bien interprété et vraiment délirant.

Et sincèrement, ça m’f’rait salement chier d’être passé à coté.

                                                                                                          
 7red


lundi 20 février 2012

wREckinG BaLL


Depuis Nebraska, on le sait, Bruce Springsteen aime varier les climats, donner à chacun de ses albums une teinte dominante.
Ces dernières années, sa production a opté pour des chamboulements incessants. Devils and dust, en 2005, le voyait œuvrait dans les nuances les plus sombres de sa country tout en lui collant une dynamique qui faisait défaut à Ghost of Tom Joad. Après quoi, We shall overcome et sa continuité Live in Dublin le propulsait vers l'Irish folk le plus déchaîné qui soit, mâtiné de grosses tranches de Gospel. Son album de 2007, l'excellent Magic rafraîchissait la formule qui avait fait de The River un must de sa discographie tandis que le plus récent Working on a dream alternait Country Rock aux consonances parfois 60's et douceurs Pop en forme de clins d'oeil à ses influences (working on a dream -la chanson- semblait même écrite sur mesure pour Roy Orbison)
On en était là.

Et donc vint l'objet de cet article, Wrecking ball.

Autant le dire sans détour, Springsteen en remet une couche dans le registre endiablé des Seeger sessions et du Live in Dublin, en forçant le trait sur l'aspect Rock plus que purement Folk. Fini la convivialité rustique "live dans la salle à manger" Wrecking ball est un pur disque de studio à l'habillage moderne, pourvu de rythmiques fracassantes et de quelques touches novatrices dans les arrangements.
Une chose est sûre, l'affaire est une réussite. Un grand coup de pied au cul de la banalité. Springsteen ne fait pas dans les détails, l'album est un bloc, prometteur de belles et farouches empoignades sonores une fois retranscrit sur scène pour un E.Street Band que l'on sait déjà largement étoffé. Les concerts à venir vont être bouillants, on peut s'y attendre, le gars a fignolé ses cartouches.

Shackled and drawn n'aurait pas dépareillé sur le Street core de Strummer, beat appuyé, violon en fête, un fond de banjo et cette voix, qui harangue, soulève la foi, redonne du peps.
Je la classe parmi les meilleures des 11 titres aux côtés de Jack of all trades, une ballade tendance valse de toute beauté au texte sans équivoque, le banquier s'engraisse, l'ouvrier maigrit. Un de ces morceaux qui montent lentement jusqu'à touché le ciel. Trompette qui chouine, banjo, piano crépusculaire, les mots me manquent. Sûrement le grand moment du disque, une chanson qui va pas me lâcher de sitôt.


Puisque je suis dans les sommets autant y rester, Death of my hometown, gros fatras sonique, un beat bien basique qui cogne sec, des chœurs féminins qui lorgnent vers l'Afrique, des arrangements tout droit venus des racines irlandaises et ce sens de la mélodie, toujours, qui fait la différence.

You've got it, plus classique mais quelle claque, slide, section de cuivres, feeling bluesy, émotion et énergie. 

Land of hope and dreams ravira les amateurs du Springsteen lyrique, en 6mn59 le gars nous embarque au fil de son œuvre tout entière. On y croise tout ce qu'on aime chez lui, Clarence Clemons inclus, le temps d'un dernier et flamboyant solo. 

Wrecking ball est menée tambour battant et pied au plancher, proche de sa version live en plus ramassé. C'est avec Land of hope and dreams l'une des deux chansons que l'on peut créditer au E.Street Band
Et encore, en formation réduite puisque seul Steve Van Zandt, Max Weinberg et Clarence Clemons figurent au générique de l'album.

We are alive conclue le disque de la meilleure des manières. Encore une mélodie chiadée, portée par un banjo country en diable et ce qui semble être un sample ou une relecture fidèle de la trompette du Ring of fire de Johnny Cash.


Pour en finir avec le haut du panier, We take care of our own, le single, taillé pour ce rôle, qui ouvre l'album avec efficacité et concision. Le mixage est plus rond que la version du simple, le relief plus contrasté. Avec son texte soulignant les désillusions du mandat Obama, l’âpreté engendrée par trop d'espoirs placés en un seul homme et ce « on va prendre soin de nous même » en écho au Won't get fooled again de cet éternel visionnaire de Pete Townshend.



Un cran juste en dessous, Easy money que je pronostique second single. Le morceau est bien, je ne dis pas le contraire, une sorte de classique immédiat, assimilable en un claquement de doigts et assurément fédérateur pour les concerts. Autant de qualités qui me font penser que ce sera aussi l'un des titres qui me lasseront le plus vite. L'évidence est à ce prix.


Reste Rocky ground sur lequel j'accroche pas, ou pas encore, je ne sais pas, les ingrédients qui font la bonne cuisine sont tous là mais la sauce ne prend pas, trop lisse peut être et enfin ce This depression, qui me pose soucis. La chanson est bien, l'interprétation audacieuse et envoûtante, faudrait l'isoler pour l'apprécier à sa juste valeur me souffle Milady, elle n'a pas tort. Au cœur de ce maelström d'album, elle semble si fragile que je n'en dirais pas le moindre mal. Il se pourrait bien qu'avec le temps ce soit celle qui reste.

jeudi 2 février 2012

LA découverTe ou l’ignorancE



Un ti papier en écho à çui d’cousin Hugh, Hip Hop Style, que c’est-il donc t’il passé ? Pa’c’que la même chose me travaille, les mêmes questions me pose, les mêmes peurs me font chier !!

Pas mal de points communs du Hip Hop à notre si cher Punk Rock, une explosion venue de la rue, des jeunes, une explosion de plein d’bonnes choses, ouverte, généreuse mais l’une comme l’aut’ qui finisse par un ti bam de pétard mouillé, pire, une déflagration de résidus bêtes et méchants.

Pour moua, c’est très perso mais c’est comme ça, le Combat Rock s’est arrêté en 83, vers le mois d’septembre yu know !
J’dis pas qu’après c’est l’néant mais sincèrement, un groupe Rock, Hum … 

Mais même pas triste, oh non surtout pas, limite libéré, tranquille, le Punk s’était aussi un peu ça, ouv’ les yeux et vis ta vie, zip it up sitôt dit, vlan, j’en ai de suite profité pour approfondir mon amour des Jamaïcanneries des années 60, plus un peu celles du moment mais faut êt’ honnête, c’était encore un peu trop frais pour moua ! Plusieurs longueurs de bassin dans mon Rythm & Blues Chéri mais y me manquait quand même un truc, l’agressivité, chose assez primordiale dans mon univers et pour ça, pas question de se pencher sur du Punk pas mort, du coup quoi ki nia ?

Le Hip Hop, bien sûr découvert grâce, et oui encore, au Clash, est devenu mon grand plaisir, ma source d’excitation musicale au milieu des années 80, là où la chose « Rock » et « Punk Rock » me les brisait menu, mais faut pas s’la péter, j’suis pas une gâchette du truc, juste un type qui y a toujours fait gaffe, écouter, s’intéresser. Tout ce fourmillage de plein d’trucs, rythmes, scratchs, fringues, dances, une réelle excitation !


Pour moi, qui suis tout sauf un type Funky, qui n’apprécie pas grand chose de la Black Music passé 1970, qui ait plus subit que vraiment écouté les Kool & the Ganguerie et aut’ Earth Wind & Fire, bien que je les connaisse toutes par cœur, ce rythme fait de boucle piquée ici et là, ce rythme où s’que tu peux taper dans les mains, cette façon de se poser, direct, qui parle à l’auditeur au lieu de s’écouter, comme un prêche, mieux même, qui n’a pas été touché ?

Bien sûr que j’ai conservé une oreille sur les crétus de la perfide albion, mais faut êt’ honnête, je me suis jamais vraiment senti concerné. Tout ce défilé de cuir, de clous, de morceaux qui te feraient passer White Riot pour un Slow et puis cette attitude, ce truc de con qui voudrait qu’on reste éternellement en place, on remplace un groupe qui joue ça par un aut’ qui fait pareil, une bière tiède par une aut’, surtout pas risquer de s’élever, oh non ça surtout pas !


Y’avait ce type à Bezons, Christian Antivakis, l’éternel premier d’la classe, pas sa faute il était bon en tout, bonne famille, ti pavillon, bonne éducation, joly lunette et débardeur à jacquard, jamais il a dû avoir moins de 19,5 à un devoir, toujours présent aux cours, un vrai zombie quoi !


En ce début des années 80, peut’êt 81, Monsieur était parti, avec papa maman, passer les vacances d’été aux States, m’en dirais tant ! J’vous laisse imaginer c’que ce genre de connerie pouvais nous inspirer, au pied de not’ immeuble, tout l’été, encore sous l’coup de c’que les socialo avait fait du programme commun et des 27 % de voix du Parti Communiste qui les avaient amené au pouvoir. Les mêmes qui nous avaient incité à coller les affiches pour la campagne d’élection nous filaient alors, sur ce coup, du cash ou des salles dans les quartiers pour arracher la tronche du pharaon et vite retapisser la banlieue de faucilles et de marteaux ! 

A la rentrée de septembre, mon moment préféré, une de mes rares apparitions aux collèges aussi, quelle ne fut pas ma surprise de retrouver mon Christian, relooké d’un Sweat-shirt rouge à capuche immatriculé New York, du plus bel effet, rehaussé d’un ti blouson noir et portant une, et rien qu’une seule, mitaine d’un vert fluo à t’arracher un œil.

Ce type, à qui je prédisais un avenir des plus glorieux, au moins préfet du département ou ambassadeur avec chocolat assorti, venait de nous coller à la page, ponctuant ces phrases de « Fresh », intervenant à nos soirées, pas vraiment mondaines, avec ses platines et table de mixage, la première fois de ma vie que j’en ai vu, moi qui croyais que la musique ne pouvait se jouer que sur l’électrophone Emperor de mémé, et, la gifle, une besace d’au moins 30 maxis de Rap, un truc de fou !


C’est plutôt honteux qu’il a fallu admet’ que ce gars n’avait pas qu’en orthographe ou mathématique plein de choses à nous apprendre !
Ce nouveau Christian, du coup très vite accepté comme un égal à nous, meute de cons, nous remerciait de not’ accueil en nous filant de superbes cassettes, BASF, parc’que le Son est meilleur qu’Agfa Orange par 10 à euromarché, des dernièreries produites dans la grosse pomme.
C’est donc de cette façon, dont je ne peux tirer aucune gloire, que mes oreilles se sont faites au Beat du Hip Hop.

J’ai toujours gardé ça sous l’coude et alors que d’un coté sortaient des compils « Paink & Désordre », « Oï », « Secret life of… » et j’en passe. Des groupes qui jouaient plus vite que la vitesse de dame lumière, critiquant au passage ce que les groupes de 77 étaient devenus, des chansons à base de discours plein d’bière, déjà un peu trop beaucoup communautaire à mon goût, mixture de chants d’supporters. C’est sûr qui faut êt’ sacrément plus futé pour écrire « If the Kids are United, alors y s’ront moins seuls » que « Something about England », et c’est un peu là que j’voulais env’nir, crétin et fier !!


C’est p’t’êt’ de l’avoir déjà vécu avec ces ersatz de painks que ça fait salement chier de voir ce que le Hip Hop est deviendu, on en revient systématiquement au degrés zéro. Le Boom du Punk a offert plein d’individus portés sur la musique, le cinoch, l’écriture et tout, quand j’y repense Public Image était quand même plus intéressant que les Pistols et là on peut chacun se faire une liste au moins longue comme le bras.
S’ouvrir, essayer, j’ose à peine imaginer la paire de couilles qu’y fallait s’porter pour sortir le « Walk This Way », Run DMC qu’avait déjà une plus que solide répute, s’acoquiner avec des chevelus tout laid pour pondre un des morceaux les plus puissant mi 80. Le posse de chaque groupe a du en rester un moment la bouche ouverte.  

Aujourd’hui Public Enemy possède son propre groupe, guitare / basse / batterie et n’hésite pas un instant à t’envoyer du AC / DC, scratcher et Rapper, du Hip Hop avec quelque chose à dire, fait par des types qu’ont plus d’un disque dans leur boite à music y’en a toujours mais tellement enfouis sous des tonnes de merde, de sales cons, idiots et obtus, qui ont adoptés ce langage pour satisfaire leur connerie, un putain d’prétexte pour sortir sa haine et sa connerie.


Que sont devenu tous les trésors Hip Hop de 90, cousin Hugh, tous les Week-End, me jouait ses nouveaux maxis, le 13 dans la place, tous ces groupes Hautement inspirés, grand bien pour eux, de leurs ainés d’I.A.M., avec du Son, des lyrics qui tiennent debout, qui n’a pas été scotché du « Aux Absents » de la Fonky Family, monté sur un sample de Monsieur Papa Aznavour, des albums massifs de Khéops « Sad Hill » ou des compils « Chronique de Mars », et bien sûr « l’Ecole du Micro d’Argent », mais pas que...

Tous les mois, des nouveautés comme s’il en pleuvait, de qualités tant au niveau du Son, avec tout plein de référence dedans, et c’est pas rien, et des paroles qui veulent dire quelque chose, qu’ont du sens, et, à l’image d’autre, des textes qui tentent d’élever le niveau, d’éviter aux mômes de se tromper d’cible, ou juste de rester poser sur leur cul, Comme un Aimant, à se lamenter de leur vie pas encore commencée ! Encore une fois le parallèle avec le Punk et le Clash est là sous nos yeux, au fond des oreilles devrais je dire !!

Et là encore une fois, le parallèle s’emmêle pas très glorieusement les pinceaux sur le point d’fuite, parce que ce qu’il en est resté est à peu près la même merde que ce qui a pu vouloir ressembler au Punk après coup !
Des lourdingues, teubês !

Musicalement c’est un peu le néant, y’a p’us rien, une boucle, sans grande inspiration, plus le moindre scratch, peut-êt’ le prix des saphirs ? Une méconnaissance de la music je dirais, tout court !


Coté lyrics, j’ai même peur que ça soit pire, des chialeuses qui se plaignent, ma téci est crasseuse, « t’avais qu’à pas pisser dans ta cage d’escalier, j’y ai grandi et c’était propre !! », mon département est plus ruff que le tiens, mon calibre est plus gros… Ceux qui vantaient la taille de leur bite ou de leur bagnole passeraient presque pour des poêts, si !!
Et le pire, à mes yeux dans tout ça c’est ce racisme de merde, ce communautarisme de con et ce groupusculisme de « tantouzes » qui me sort le plus par les yeux.
Y’a plus que ça, et pas que dans le Hip Hop, ma musique jamaïcaine chérie fait depuis longtemps son beurre sur les « brûlez les pédés, les ti blancs, ceux qui portent pas d’turban, ceux qui pensent pas comme nous… » !

Si y z’existent, bénis sois les dieux qu’il n’y a plus de groupes Rock depuis 1983, vers le mois d’septembre, yu know !!


En cette triste année d’élection où la démocratie s’inquiète que narine n’est pas ses 500 signatures, je lui en donnerai volontiers 2000, pour peu qu’elle n’dépasse jamais 2 % !!