mercredi 6 décembre 2017


36 commentaires:

  1. On a tous en nous quelque chose de Johnny

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    1. C'est ça en fait. C'est pourquoi il nous touche tant

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    2. Pour beaucoup, c'est notre premier jour sur terre sans lui )))

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    3. Le premier jour de notre vie sans lui !

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    4. Oui, je voulais mettre en titre Une nouvelle vie va commencer. Mais bon, je crois qu'on va avoir droit à assez d'effet de style comme ça pour ne pas en rajouter.)))

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  2. Je fais le malin, mais ma maman va être en deuil, son trio était Piaf, Sardou et Hallyday. L'album qui m'a bercé? "Derrière L' Amour" finalement, j'avoue, mon Johnny préféré? C'est quand enfin il bascule variété!!

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    1. Excuse moi partenaire, mais la période 65/70 reste pour moi fabuleuse. Le pénitencier, La génération perdue, Né dans le rue, Fils de personne...Toute la série Impact en fait, elle résume parfaitement son âge d'or.
      Derrière l'amour, c'est vrai aussi que j'en étais dingue quand elle passait en radio.

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    2. Complètement de ton avis. Le disque avec les Showmen, "les rocks les plus terribles" est un classique indépassable du rock and roll. Ce que j'aime aussi chez lui un peu comme Bashung au début, c'est qu'il n'est jamais tombé dans le piège de la chanson à texte propre à la France. Il est resté profondément populaire en restant lui même. Ses reprises de Stax sont aussi incroyables. "Aussi dur que du bois" par exemple a la même qualité que "Knock on wood". Fallait le faire à l'époque.
      Franchement, un vrai fan de rock and roll ne peut que les aimer ces disques.

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    3. Bonjour,
      "Franchement, un vrai fan de rock and roll ne peut que les aimer ces disques."
      Ben non. Né en 1958, à quelques saisons près, j'ai l'âge du rock and roll que j'ai découvert au sortir de l'enfance grâce à un copain d'école dont le grand frère possédait une solide collection d'albums de pionniers noirs et blancs. Elvis, Little Richard, Eddie Cochran, Gene Vincent, Fats Domino, Jerry Lee Lewis, Ike Turner, Bo Diddley... Longtemps, la France et la francophonie (belge et suisse romande) ont résisté au rock et au rythm'n'blues en leur opposant les tièdes yéyés et leurs navrantes adaptations de classiques pop américains sur lesquelles les impressarii faisaient coller des paroles ineptes. Pour moi, Johnny fait partie de ce malentendu. Il jouait dans la catégorie variété-rock qui a tout de même donné Bashung, Murat, Manset et quelques autres. J'ai vécu (subi) les pénibles années 70 quand la télé proposait ses variétés indigestes que je peine à trouver rigolotes même au second degré 40 ans plus tard. Je lisais Rock&Folk et Best mais sans jamais retrouver dans la lucarne les groupes qui faisaient les charts anglo-saxons et les bons articles des critiques rock. A la place, Sheila & Ringo, Stone & Charden, Johnny & Sylvie jusqu'à l'écoeurement. Parfois, Gainsbourg se glissait pour semer un peu de provoc'. C'est tout. Le début des 80's fut une bénédiction : le rock, le vrai, entrait dans les programmes. On respirait enfin.
      Je n'ai pas rencontré l'homme Johnny qui avait l'air plutôt sympathique en vieillissant mais jamais on ne me fera accoler son nom aux rockers historiques. Pour moi, en France le rock'n'roll est incarné par Ronnie Bird, Les Variations, Little Bob, The Dogs, Extraballe, Bijou, Starshooter, Métal Urbain, Daniel Darc et quelques autres.
      Bien cordialement
      René

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    4. On peut se flageller tant qu'on veut, lui en préférer d'autres, à tort ou à raison, mais Johnny Hallyday était là en premier. C'est lui qui a incarné la musique américaine en France et s'il en a été une adaptation, il n'en fut pas une caricature.

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    5. Le rock il était pas dans Best et Rock & Folk en fait, mais dans les LUI, les Playboy et les magazines de variété justement, t'étais pas dans le bon axe dès le début ;)
      Mais je crois plus sincèrement que c'est une affaire de snobisme de balayer le talent de Johnny, sa voix, son interprétation, son sens de la scène... surtout au détriment de -et même si je les aime bien- Daniel Darc ou Starshooter.

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    6. Claude,

      Je comprends ton point de vue et tu as en partie raison mais fais juste l'essai de poser ce disque avec les Showmen sur ta platine. Juste ce disque. Met "Franky et Johnnie", (par exemple), très fort, ça égale vraiment Vincent ou Cochran. Ca n'a rien de "variété rock" comme tu dis.
      Y a pas un seul disque de rock and roll en France qui arrive à ce niveau, mis à part les dogs, peut être.... Je dis pas ça par "contre snobisme" ou pour me distinguer.

      Serge

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    7. Pardon... Ton prénom est René (pas Claude)... Désolé.
      J'ai moi aussi subi la variété des années 70's et l'irruption du punk en 1978 (pour moi) a été une vraie bouffée d'air frais, vu le copinage de la variétoche qui squattait la télé tous les samedi. Je vois exactement ce que tu as subi crois moi )))).
      J'ai longtemps détesté Johnny, un peu comme tout le monde et lui ai préféré longtemps Ronnie Bird un peu par snobisme mais avec l'âge et j'ai fais le tri. Quand à Bijou il me semble que la filiation est plus qu'évidente. Little Bob, metal Urbain ou Starshooter a beaucoup plus mal vieilli que la plupart des choses de la bonne période d'Hallyday.

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    8. Surtout que pour le coup, Starshooter et Bijou sont EUX, de la variété punk

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    9. Ma chérie, tu insultes la Variété )))) Si on reproche à Hallyday de n'être qu'ersatz de Cochran, alors que dire des autres que vous citez ? Pas un n'a la moindre once d'originalité ! Ni même le bon timing auquel se raccrocher. Bashung fut un authentique créateur (et sans doute le plus proche héritier physiquement et culturellement de Johnny) il a su allier la musique française, cette fameuse Variété, à des sonorités anglo-saxonnes et américaines. C'est notre talent par ici, ce mélange que l'on a su faire notre. Les shows des Carpentiers étaient partiellement soporifiques -ils s'adressaient à plusieurs générations et tout n'était pas encore devenu "rock" comme on dit schtroumpfs- pourtant ils m'ont formé l'oreille à la Country, et tant pis si Joe Dassin n'était pas Buck Owens, au Disco, au Music-hall, au Calypso, à la Java de Broadway. Je ne sais pas si je serais aussi éclectique que je le suis si je n'avais pas biberonné avec ennui leurs duos improbables, leurs mises en scène alcoolisées. Pas contre, je suis certain que je ne le serais pas si je n'avais connu que la risible scène des années 80, prétendument rock.
      C'est cons pour eux, les petit Robert, les clébards et les obscurs Daniel, mais Christophe, Polnareff, Dutronc, et Hallyday, et Schmoll, les faisaient paraître vains.
      Je suis né dans la rue, c'est Raw Power dès 1969 ! Jouez la à la radio encore aujourd'hui, vous mettez tout le monde dans le rouge, direct. Et ça va pas être facile d'enchainer avec Shakin' with Linda ))))))
      La prochaine fois, je vous dirais pourquoi, selon moi, Michel Sardou fait passer les provocations de Gainsbourg pour de vagues blagues potaches.

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    10. Quel rapport entre Raw Power et "Je suis né dans la rue"? la provocation?
      Les provocations, je m'en tape complètement que ça vienne de Sardou ou des Stooges, j'ai toujours trouvé ça bidon, en particulier quand ça touche au sexe ou à la politique.

      "Shakin' with Linda" tient largement la route devant n'importe quel Johnny. J'ai pas de doute là dessus. Les dogs n'ont rien de risibles.

      Je vois pas pourquoi, d'ailleurs je les mettrais en opposition. J'aime les deux. Je ne vois pas en quoi l'un ferait paraitre l'autre vain?

      C'est marrant, je me retrouve à défendre Johnny devant des fans de rock et les dogs devant toi. Ca fait beaucoup de boulot pour moi en ce moment. Je crois que je vais lever le pieds. Bien le bonsoir

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    11. @Serge. Le rapport avec Raw power, le son. Le mixage si tu préfères. La batterie enterrée loin derrière, la voix poussée très en avant, la basse qui fait des cabrioles entre la guitare sale qui ronge sa muselière dans un coin et le piano qui martèle dans l'autre. Tout le mix de Bowie est déjà là, accompli par Lee Hallyday (ou officieusement Mick Jones et Tommy Brown).
      Je trouve que durant sa période londonienne, Hallyday a été vraiment à l'avant garde de pas mal de trucs, sans doute parce qu'il laissait beaucoup de liberté aux musiciens qu'il utilisait. Je répondais à René Claude à propos de la crédibilité rock et je pense que Je suis né dans la rue est un bon exemple de morceau sur lequel le boulot effectué n'a rien d'une redite.
      Idem pour Sardou. Mettre en exergue les pitreries de Gainsbourg comme étant les seules provocations dans un univers qui serait par ailleurs parfaitement aseptisé, je trouve ça léger pour décrire la liberté de ton des 70's françaises. Polnareff a été provocateur en se contentant d'être lui-même. Je pige que tu n'aimes pas ça, d'ailleurs tu n'avais même pas évoqué le sujet. C'est donc là encore à René Claude que je réponds ))))
      Aïe, les Dogs....je plaide coupable, c'est bien toi que je taquine. J'ai trouvé drôle d'imaginer Shakin' with Linda enchainée à Je suis né dans la rue. La blague aurait fonctionné aussi bien avec un titre de Bijou. Mais j'aime bien chambrer sur les Dogs, c'est toujours comme mettre le gaz à fond sous une casserole de lait.
      Bref, tu défends beaucoup de monde face à beaucoup de monde, et c'est bien à ton honneur, mais sur ce coup là, je te confirme que tu as besoin de repos.))))

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    12. Si je peux mettre encore mon grain de sel.... c'est aussi à René Claude que je m'adresse parce que bien sur on peut aimer ou pas Johnny, et même une période, pas une autre, quelque part on est pas non plus face au jugement dernier, on s'en fout. Mais de lui opposer les groupes ci dessus nommés je trouve ça con. C'est une tout autre époque, et de plus, celle ou de rock universel on est passé à un élitisme bien parigot...

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  3. JH il a été rocker? quand? Merci de m'aider dans mes recherches.

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    1. Désolé de ne pouvoir t'aider, c'est une question que je ne me suis jamais posé.

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  4. ce qui est reproché a johnny c'est d'avoir été trop pop, et aussi une certaine argumentation ras des pâquerettes. il en a toujours fait des tonnes, mais pour un pays comme le notre, si cultivé, c'était bien légitime. il aurait peut être pas du. gloire aux pionniers ! s'il y a rapport avec je suis né dans la rue et raw power c'est aussi le thème en filigrane, moi je suis poète. bye bye johnny. et à ma jolie sarah, et à ma gueule et moi on est d'sortie, et le feu (le funk pas l'autre), et a tout casser à cheval d'acier ha ha, et jésus christ est un hippie ça semble évident non ? et le bon temps du rock'n'roll, ça c'est du réac rock radical baba cool de merde foncedé au tcherno. et maintenant une idée pour se faire de la braise, je vous la donne c'est cadeau : des johnny burger à vendre sur internet ! je me suis pas foulé, j'ai choppé l'idée dans dead elvis de greil marcus. un peu gavant comme pavé, mais je l'ai fini le jour même de l'annonce. tu parles d'un timing. moi je vois les signes, je les entends même, et les sent. et tout comme johnny, entre l'ombre et la lumière, j'ai choisi la lumière.

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    1. Ouais, il a eu plein de périodes différentes. Du Twist au Peplum Rock. C'est un interprète assez redoutable, j'ai revu son concert au Stade De France en 98, c'est une tuerie ce truc. Il passe en revue tous les styles, le passage Rhythm & Blues est juste mortel. Les musiciens sont ceux de Mc Cartney et Bowie, et ça se voit que les mecs s'éclatent sur ce répertoire. Avec qui d'autre, ils pourraient enchainer des reprises de Wilson Pickett, Stevie Wonder ou Eddie Floyd ? En 98 ? Avec Daniel Darc ?)))
      Toutes ces salades pour savoir si il est rock ou pas, je m'en fous un peu. Ronnie Bird, franchement...je ne vois pas trop en quoi il est si fortiche. Toutes ces comparaisons, ça en dit souvent beaucoup sur ceux qui les font, en fait. Je pense que le rocker élitiste flippe d'être confondu avec le bœuf de base qui croise les bras sur Gabrielle. Perso, je le fais chaque fois que j'entends le morceau, c'est plus fort que moi )))) Finalement, le plus crétin, c'est celui qui se prive de plaisir.
      Et La fille aux cheveux clairs, tu la connais ?
      Dead Elvis, j'ai pas tenu jusqu'au bout. Greil Marcus est chiant avec ses élucubrations à deux balles. J'éteins en partant ?

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    2. Non non attends, y a encore Charlu au comptoir ! ;))

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    3. Peuchère, tout le monde le laisse picoler en solo. Je vais lui laisser les clés. Son coup du corbeau, ça m'a évoqué Ringo Willycat, du tout j'ai été déstabilisé. ))))

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  5. Sans rentrer dans les nombreuses considérations qui précèdent mon commentaire, Johnny Hallyday a marqué et marquera à tout jamais 57 ans de la vie de la France en sachant parfaitement s'entourer pour concevoir ses disques. je retiens (non pas la nuit) l'album "Rivière...ouvre ton lit" de 1969 et puis aussi "Flagrant Délit" de 1971 avec les superbes chansons à succès que sont "Fils De Personne" et l’inénarrable "Oh ! Ma Jolie Sarah". Il y eut des creux dans sa carrière comme au début des années 80 avant qu'il ne rebondisse grâce aux albums Berger et Goldman mais il a toujours su être là, à la mode sans pour autant l’être. Inoxydable comme tout un chacun voudrait l’être et ,c'est pour cette raison , je pense, qu'il est aussi aimé .

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    1. Rivière ouvre ton lit est un de ces disques à jouer à fond les manettes comme la fin des sixties savaient les faire. Ronnie Lane à la basse, Tommy Brown à la batterie, Steve Marriott, Mick Jones, Jimmy Page aux guitares...tous se lâchent loin des managers, des ambitions, libres d'envoyer autant qu'ils veulent sur des titres chromés de noir Je n'ai besoin de personne, Né dans la rue, Rivière, Voyage au pays des vivants.
      Le genre de disque qui sonne de façon démentielle même si tu l'écoutes sur un électrophone mono avec une aiguille à tricoter en guise de saphir. Dans le même registre, l'album suivant, Vie, tiens aussi la route avec des titres comme Essayez, Rendez moi le soleil, C'est écrit sur les murs, Le monde entier va sauter et La fille aux cheveux clairs.
      De La génération perdue en 1966 à Insolitudes (avec Peter Frampton à la guinde, Klaus Voorman à la basse, Gary Wright aux claviers, et Bobby Keyes, Jim Horn et Jim Price aux cuivres) en 1973, Johnny Hallyday a aligné pas mal de pépites bien croustillantes. Et comme tu le précises, ce ne furent pas les dernières.

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  6. ouais je veux bien, laisse la lampe de chevet par contre, t'aurais pas une tête de beuh a m'dépanner , super je te revaudrais ça ... non tu laisse la musique

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  7. Je lis plein de trucs partout, moi je m'en remets pas. Je ressorts tout et je fonds.. comme toi, enfin un peu plus large.. moi c'est 65/75.. je pousse même jusqu'à 82 avec le sublime "Quelque part un aigle". D'ailleurs j'écoute "Montpellier" en boucle ce soir.. et "La cais".. bref... j'ai lâché y'a longtemps, mais tout remonte, capillarité nostalgique..ou pas. Tiens ce soir, je viens d'écouter "Le coeur en deux".. j'avais pas écouté depuis... 30 ans.

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    1. M'en parle pas, on devient jobastre avec cette affaire. Je fais comme toi, je ressors l'artillerie, l'album Jeune Homme m'a claqué le beignet, une tuerie. Tu parles de 1965 ? Grande année, t'as raison. J'ai fais un blocage toute la journée sur la guitare de Joey Greco sur Maudite rivière, la classe ce morceau planqué en fin de seconde face de l'album du service militaire, celui du Pénitencier et des Mauvais Garçons.
      J'en suis à tracer des parallèles entre Sang Pour Sang et Fantaisie Militaire, et Milady a ressorti Gang. On est mal barré pour aller mieux. A y être on a visionné Point De Chute de Robert Hossein avec aussi Pascale Rivault (la futur madame Charden qu'on retrouve dans La Bête de Borowczyk), je conseille vivement. Une sorte de huis clos tout en non-dit dans le froid d'un bord de mer pas forcément accueillant.
      Je crois que je suis en train de prendre conscience qu'il nous était tellement familier, que j'en ai négligé pas mal d'aspects en imaginant connaître l'essentiel. Du coup, j'ai acheté une pelle et je déterre des trésors. Reviens, Johnny !

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  8. Reviendra pas Jojo? je rentre d'une réunion de famille, pas forcément fan du gars, un peu quand même.. et on a mis 4 vinyl sur la table, des trucs à prendre. Du coup j'ai embarqué le live "Enregistrement public 81".. improbable, pas connu.. "Guerre" en intro..qui embraye direct sur "Fils de personne".
    J'ai lâché en 85..mais je prends conscience du truc..
    Ceci dit, Sang pour sang et fantaisie..tu m'intrigues.. c'est le truc avec David ?? vais essayer.

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    1. Oui, Sang Pour Sang, c'est celui avec David. J'ai trouvé très bon aussi celui avec le fils Chedid, Jamais Seul. Malgré sa mauvaise réputation, là encore, je lui ai trouvé des résonances avec Bashung et une bonne grosse pêche doublée d'audaces pas connes.

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    2. "Jamais seul" !!!! sérieux, c'est le seul disque que j'ai acheté de Johnny depuis 85. C'est ze rencontre, le truc qu'il manque à M, et aussi à Johhny. Le vrai son blues gratte avec des paroles superbe. Je comprends pas l'échec commercial ... dans mes chansons préférées y'a "Ma Gueule" et "Guitare hero". Chanson Hallyday parfaite..avec solo de dingue. Puis y'a "Dandy" et "Tanagara" vachement mieux que l'originale... et même "England" est tordante.

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    3. C'est à se demander si ceux qui en parlent de travers se sont au moins donné la peine de l'écouter, ce Jamais Seul. J'ai l'impression que souvent Johnny sert de curseur, les gonzes ne donnent aucune opinion objective, ils se positionnent en fonction de l'image qu'ils veulent se donner. Alors quand en prime, il fait alliance avec M....))))

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    4. Jamais seul est une splendeur roots en effet qui avec ses deux derniers albums (Rester vivant et De l'amour) démontraient que le bonhomme avait pour ambition de revenir à une musique moins versée dans la variété.
      Sinon, il est vrai que dans quasiment tous ses disques il se cache de précieuses pépites: j'en veux pour exemple Carte postale d'Alabama (son adaptation de Sweet home Alabama donc) qui déchire tout sur l'album La peur.

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