Comme si ça ne suffisait pas avec le bordel sur les rond-points, voici que l'insurrection prend ses aises sur ce blog. Après Harry Max courroucé par mes propos sur le radotage sénile de Paul McCartney, c'est maintenant à 7red de trouver à redire sur l'accueil modéré que j'ai réservé à l'arnaque Bashung et à la bérézina The Good The Bad & The Queen. L'année commence bien, je ne peux même plus dézinguer peinard. Il n'y a plus moyen de détester en paix.
Tout ça ne m'empêchera pas de souhaiter que 2019 soit douce et heureuse, porteuse de bons sons bruts pour les truands et de friandises à se délecter. Et surtout, restons libres.
★ ✩ ✮ ✯ ✰ ☆
En aval de ta chronique sur le Bashung et le Good, Bad etc… et surtout après une réelle écoute, tranquille, en prenant du temps, quelques mots me viennent. Ça chie comme tournure hein ??
Tout d’abord ce En Amont, d’un Bashung qui n’est plus là pour dire si oui ou non ce disque avait une utilité. Perso, sa voix et ses mots me manquent et c’est vrai que j’aurais aussi bien pu me régaler d’un livre mais je suis content du disque, content de l’entendre, le Alain, et c’est tant pis si malheureus’ment ça justifie de sortir ce type de galette, post mortem, non finalisée et tout et tout. C’est quand même pas un type qui s’est élevé l’ouïe aux démos des Cadavres et aut’ 13ème Section, sans parler des trop fameuses Vanilla Tapes de moraliser sur le côté démo de ce En Amont.
Morceaux jetés ou mis de côté, idées placées là en attendant d’en faire, ou pas, quelque chose, c’est bizar’ment avec un putain de plaisir que de jouer l’album, peut’êt’ pas voulu, d’un Bashung déjà loin mais qui même en mode démo reste pour moi plus affriolant que tous les « Vianiais » et aut’ « Mettre Gims » de l’univers.
Triste pensée que ces chers disparus qui nous délivraient quelques bribes de leur univers au-devant de ces peignes zizi qui cherchent par tous les moyens à remplir, et pourrir, le nôtre !!
Morceaux jetés ou mis de côté, idées placées là en attendant d’en faire, ou pas, quelque chose, c’est bizar’ment avec un putain de plaisir que de jouer l’album, peut’êt’ pas voulu, d’un Bashung déjà loin mais qui même en mode démo reste pour moi plus affriolant que tous les « Vianiais » et aut’ « Mettre Gims » de l’univers.
Triste pensée que ces chers disparus qui nous délivraient quelques bribes de leur univers au-devant de ces peignes zizi qui cherchent par tous les moyens à remplir, et pourrir, le nôtre !!
Pour ce Merrie Land de The Good The Bad & The Queen, je me souviens parfait’ment nous entendre encore dire que ce serait leur premier et dernier Bon disque, comme pour la Founky Familly et tant d’aut’, faut admett’ qu’on avait, en plus de la vista, la gâchette particulièr’ment sensib’ !!
Ou ils nous sortaient un album et une tournée tous les deux ans ou ce premier album devait êt’ aussi le dernier. L’effet de surprise s’en est allé il y a comme un bon moment de ça, alors pourquoi ce disque ?
Ou ils nous sortaient un album et une tournée tous les deux ans ou ce premier album devait êt’ aussi le dernier. L’effet de surprise s’en est allé il y a comme un bon moment de ça, alors pourquoi ce disque ?
On est loin d’un quelconque univers du Rock, c’est vraiment une espèce de pièce de cabaret, tout comme le Liberty of Norton Folgate de Madness et vu sous cet angle, ce disque devient, comme le premier, quelque chose de plutôt pas mal intéressant. Pour la tite histoire, je peux passer des heures à regarder et écouter en boucle le Liberty of Norton Folgate et dois admet’ que toutes les séquences partagées sur face de bouc du show de la bande au sieur Albarn me plaisent. Petites salles, scènes transformées en décor théâtreux 1900, proximité avec le public, de loin la chose la plus importante, reste malheureus’ment la barrière de la langue et que, peut’êt’, toute cette pièce reste très anglo-anglaise, leur histoire, leur brexit, leur bizness. T’êt’ même un problème de climat, mais ça c’est l’point météo !!
7red
Bien vu le clin d'oeil à MADNESS, album qui mériterait un papier, tandis que toi tu aurais l'obligation initiative spontanée de nous parler du groupe
RépondreSupprimerHistoire que dans le monde de l'encensement: un peu moins sur les KINKS et davantage sur MADNESS qui jouent souvent dans la même cour. Me manque la lecture des textes pour me donner davantage raison?
Sinon, "Pièce de Cabaret" Je lisais aussi "Carrousel", une humeur pour visiter de vieilles merceries surchargées d'objets en tout genre.
Pourquoi 7red ça me dit quelque chose?
Mais oui..mais j'arrète pas de lui dire à Ranx, il se goure, dézinguer l'indézingable.. faut dire qu'il est costaud l'Hugo, il prend des risques et se mouille un peu..mais au fond on sait bien que c'est pour qu'on vienne le titiller à notre tour.. même pas réussi à gâcher mes écoutes suivantes en amont. Tiens, je vais me remettre un petit coup de Paulo..
RépondreSupprimeret moi itou du coup. tu nous emmerde. c'est un dernier album sobre, pour un dernier départ le son est bon, bien mieux que le post Johnny (que mon beauf a eu la délicatesse d'offrir a ma mère, elle qui préfère Ferrat hu hu hu). j'en suis a quatre titre et ça coule. tu parles d'un croque mourant celui là, toujours a râler sur son fond rouge a attendre le dernier maiden. tsss, une vraie teigne.
RépondreSupprimerUn nouveau Maiden, voila une bonne idée pour 2019. Je me bidonne en lisant le bouquin de Dickinson, il est aussi malin qu'il en a l'air. D'ailleurs ça vous ferait le plus grand bien d'écouter Maiden, ça vous remettra d'aplomb )))))
RépondreSupprimerc'est vrai après écoute totale qu'y a deux trois trucs qui trainent un peu des patins, mais je reste quand même sur ma première impression. quand a l'aut, je me demande bien ce qu'il a a dire, parce que a part sa voix qui perche, certes, moi je le trouve un peu trop prospère le pépère, et ses costards arf arf arf, t'as qu'une envie c'est de lui en tailler un. tu transmettra, merci.
RépondreSupprimerGreat !
RépondreSupprimerComme dirait SLADE....