tag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post5972131205038229916..comments2024-03-29T14:53:31.694+01:00Comments on RANXZEVOX: KeN RusSeLLRanxZeVoxhttp://www.blogger.com/profile/17468021829438591697noreply@blogger.comBlogger15125tag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-61579222622266676462016-12-17T14:23:54.237+01:002016-12-17T14:23:54.237+01:00Je viens de voir The Boy Friend, un hommage genti...Je viens de voir The Boy Friend, un hommage gentiment vachard aux comédies musicales d'antan que la mise en scène exubérante de Russell rend des plus singuliers.<br />C'est un véritable tour de force coloré, aux décors et aux chorégraphies aussi splendides que profondément originaux (le numéro sur une platine vinyle géante !) qui nous émerveille à chaque plan tout en nous dévoilant toutes les bassesses qui peuvent sévir dans ce milieu. <br />Gros coup de cœur pour Twiggy - l'icône des 60's - qui dans son premier rôle se révèle confondante de naturel et d'un talent hors norme.<br />Ne vous privez pas de ce bonbon acidulé qui vous en mettra plein les mirettes ! HARRY MAXnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-79328682165324504542016-12-14T14:32:47.698+01:002016-12-14T14:32:47.698+01:00Apocalypse de Jean, Bernanos, De Maistre, Huysman...Apocalypse de Jean, Bernanos, De Maistre, Huysmans,Bloy, Dick... : t'es pas le mauvais mec non plus. Tu as un blog? Je ne l'ai pas trouvé.Sergenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-20821847530196012202016-12-14T13:41:10.379+01:002016-12-14T13:41:10.379+01:00T'es sacrément atteint Ranx, mais je t'aim...T'es sacrément atteint Ranx, mais je t'aime !Dannyhttps://www.blogger.com/profile/06038885503948062923noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-56372904423996306552016-12-13T11:06:41.433+01:002016-12-13T11:06:41.433+01:00En parlant de Comencini, je m'en suis fait un ...En parlant de Comencini, je m'en suis fait un petit cycle en début d'année -dont Pinocchio et l'excellent Le grand embouteillage), mais je ne pense pas connaitre Femmes dangereuses, je pars en chasse merci. (En passant tu développerais à peine que ça ferait un super papier sur le cinéma italien, et je serais sans conteste ta première cliente <-- ceci est une vrai requête -_*)<br />Le cabinet des rugositéshttps://www.blogger.com/profile/06250804083689674265noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-15743594643946708082016-12-12T19:19:00.211+01:002016-12-12T19:19:00.211+01:00La Lollobrigida était la Diva par excellence, pour...La Lollobrigida était la Diva par excellence, pour autant elle était bien meilleure actrice que ce que l'on a bien voulu laisser entendre. Dans la série des Pains, amour et fantaisie, elle est dans son interprétation aussi juste et drôle que ce cador de De Sica et dans ses tous premiers films elle révèle une facette plus dramatique de son jeu qui nous touche direct au cœur.<br />Hier soir, je me suis regardé à nouveau Femmes dangereuses de Luigi Comencini; un pur régal de fantaisie et de finesse d'observation qui ausculte au plus près la fourberie masculine et la diversité des couples. TOUS les acteurs, y compris dans les rôles secondaires ou carrément passager, sont géniaux: Renato Salvatori dans le rôle du couillon de service fait merveille, Franco Fabrizi en séducteur veule nous amuse; quant à Sylva Koscina et Dorian Gray, elles font étalages de leurs charmes et de leur malice de façon clairvoyante. <br />Le scénario est une mécanique de précision qui enchaîne à la perfection les rebondissements et les passages tantôt tendres tantôt drolatiques. <br />A la vision d'un tel film, on n'a qu'un désir se trouver pour de vrai au milieu de ces personnages attachants afin de partager leurs péripéties.<br />Le cinéma italien de cette époque bénie, il pique au cœur autant qu'il secoue les zigomatiques: c'est un alliage savant et parfait de genres antinomiques. <br />Et un bonheur sans cesse renouvelé de retrouver sur nos écrans des comédiennes et des comédiens qui semblent faire parti de notre famille ou de nos ami(e)s. HARRY MAXnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-16130008625101945382016-12-11T23:00:05.718+01:002016-12-11T23:00:05.718+01:00Je confirme que Gina Lollobrigida est odieuse, cet...Je confirme que Gina Lollobrigida est odieuse, cette garce a brisé mon innocent cœur d'enfant à chaque fois que je la voyais dans un film !!! )))))<br />RanxZeVoxhttps://www.blogger.com/profile/17468021829438591697noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-69254640117743998862016-12-11T22:53:23.599+01:002016-12-11T22:53:23.599+01:00Mais moi aussi je suis friande des comédies acerbe...Mais moi aussi je suis friande des comédies acerbes que tu cites, ainsi que de tous ces acteurs et actrices -en passant il parait que Gina Lollobrigida fut odieuse sur le tournage de Pinocchio-, et oui Ettore Scola dépeint l'âme avec autant de tendresse que de tristesse... c'est fantastique. <br />Et Ken Russell, est une drogue. On vient de revoir Au delà du réel, et il agit comme tel. C'est quand tu penses que tu es en haut, que ça commence vraiment. Ce cinéma là, ça nourrit et à ce propos je remercie Hugo de nous avoir repropulser dans cet univers explosif. MerciLe cabinet des rugositéshttps://www.blogger.com/profile/06250804083689674265noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-8452900686827594932016-12-11T19:16:44.330+01:002016-12-11T19:16:44.330+01:00J'ai chopé ce (Women in) Love, il est programm...J'ai chopé ce (Women in) Love, il est programmé pour cette semaine. Après s'être fait Valentino, Les Diables et Lisztomania en deux jours, on va laisser nos cerveaux en jachère avant de repartir de plus belle ))) C'est que mine de rien, c'est un cinéaste traumatisant, ce Ken Russell, tu vois ses films à 15 ans et tu en régurgites le jus à 50 !!!!<br />Comme tu le dis si bien, il nous manque. RanxZeVoxhttps://www.blogger.com/profile/17468021829438591697noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-27389704474100145232016-12-11T19:10:13.204+01:002016-12-11T19:10:13.204+01:00Comme tu l'as peut être vu, j'ai mis le li...Comme tu l'as peut être vu, j'ai mis le lien pour télécharger Les Diables (sous ma signature) et c'est sans doute par là (et par Valentino, mais celui là pour le télécharger tu peux te lever de bonne heure) qu'il te faut commencer. Il est au-delà du descriptible. <br />Lisztomania est différent sur le fond, c'est une farce allégorique. Très esthétique et complétement loufoque.RanxZeVoxhttps://www.blogger.com/profile/17468021829438591697noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-8017637876873474362016-12-11T15:19:11.087+01:002016-12-11T15:19:11.087+01:00Je suis plus friand des comédies acerbes italienne...Je suis plus friand des comédies acerbes italiennes pratiquées par des cadors de la trempe de Dino Risi, Luigi Comencini, Mario Monicelli, Carlo Lizzani, Vittorio de Sica qui, avec l'aide d'acteurs prestigieux, tels que Marcello Mastroianni, Alberto Sordi, Ugo Tognazzi, Walter Chiari, Nino Manfredi, Vittorio Gassman et bien d'autres encore ont prodigué des œuvres iconoclastes qui mettaient à mal les travers de leur époque.<br />Il ne faut pas oublier également les actrices italiennes telles que Anna Magnani, Claudia Cardinale, Sophia Loren, Gina Lollobrigida, Sylva Koscina qui grâce à des rôles forts ont défendu la cause féminine avec subtilité.<br />Des cinéastes ancrés plus volontiers dans le drame ont aussi fait des merveilles, c'est le cas notamment de Luchino Visconti dont la mise en scène fastueuse s'accompagne souvent de passages sulfureux, de Passolini bien entendu ainsi que d'Elio Petri et de ses charges virulentes contre la société italienne. <br />Quant à Ettore Scola, c'est peut-être lui le plus corrosif de tous, tant ses films se montrent impitoyables dans leur manière de décrire l'âme humaine dans ce qu'elle a de plus vil.<br />En ce qui concerne Fellini, je te rejoins sur I Vitteloni (son troisième film) qui avec Il Bidone, la Dolce Vita et une partie de 8 1/2 représente ce qu'il a fait de mieux avant qu'il ne plonge dans fantasmogories de moins en digeste.<br />De tout façon, ce qu'il y a de génial avec le cinéma italien de cette époque, c'est qu'il y en avait pour tous les goûts, tant tous ces talents conjugués savaient abordés n'importe quel genre avec une classe folle.<br />Pour conclure, la richesse de ce cinéma a de quoi donner le vertige et occuper toute une vie. HARRY MAXnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-37551750246920144042016-12-11T14:57:08.813+01:002016-12-11T14:57:08.813+01:00Bien vu. Tu réveilles des souvenirs ce qui est bea...Bien vu. Tu réveilles des souvenirs ce qui est beaucoup et des nouvelles envies. J'en suis resté à TOMMY en fait, vu aussi plusieurs fois au cinéma à sa sortie mais le reste de la filmographie est resté pour moi un fantasme non réalisé, car j'imaginais et j'imagine Russel Sensuel, sex(y) en Diable. Une promesse de frisson dont on ne discerne pas forcément tous les ingrédients. Une promesse non testée. En fait je craignais, ça avant la lecture ici, je craignais des thèmes un peu stériles et hors sujet. Liszt? Dans un film haut en je ne sais quoi? À l'époque je m'étais plutôt tourné vers Jodorowxsky qui m'attirait davantage finalement. Bon, je vais regarder ce que ma médiathèque a pour de futur visionnage. Je mets dans ma liste en premier: Rudolf, Love ensuite je ne sais pas, Liszt? Franchement je doute encore un peu, moins mais un peu.DevantFhttps://www.blogger.com/profile/16785461882712861373noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-32435067181848405922016-12-10T19:11:36.362+01:002016-12-10T19:11:36.362+01:00Bravo ! C'est tout à fait ça le cinéma de Ken ...Bravo ! C'est tout à fait ça le cinéma de Ken Russel -et en gros des années 70-, très burlesque, psyché-fantaisy, mais avec ses fonds d'angoisses. Le cinéma italien, j'en suis aussi ultra fan. Je viens de revoir I Vitteloni de Fellini j'adore. J'y ai même retrouvé les costumes que Billy Wilder utilisera plus tard dans Certains l'aiment chaud. En fait on retrouve à mort de Fellini chez Ken Russel. Et du Metroplis de Fritz Lang. La beauté art déco de L'abominable Dr Phibes, c'est magique. C'est vraiment le cinéma vivant, comme j'aime aussi ;)Le cabinet des rugositéshttps://www.blogger.com/profile/06250804083689674265noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-83824278201623179352016-12-10T18:36:54.256+01:002016-12-10T18:36:54.256+01:00Ah, Ken Russell, que sa folie et son imagination d...Ah, Ken Russell, que sa folie et son imagination débordante nous manquent, bordel ! <br />De lui, j'ai vu cet été Love (que l'exceptionnel Cinéma de Minuit de Partick Brion a eu l'heureuse idée de programmer), un film plutôt méconnu qui traite de l'amour avec toute la crudité, la cruauté et l'ambiguïté dont fait montre le cinéma de Russell.<br />Oliver Reed - qui d'autre ? - s'y révèle fascinant dans son rôle de notable qui bafoue les conventions; qu'il soit odieux ou taraudé par les affres d'un tourment amoureux qu'il n'arrive pas à maitriser, il imprègne la pellicule de son interprétation incandescente (cette scène folle où, au milieu d'une vaste étendue de neige située en haute altitude, il meurt seul recroquevillé tel un fœtus est proprement terrifiante).<br />Dans ce film, lui et son ami s'amourachent de deux donzelles et leurs deux couples sont totalement opposés tandis que l'un verse dans la pure romance l'autre cultive un amour volontiers sadique.<br />La famille de notable dépeinte par Russell se compose d'une marâtre intégralement dingue qui humilie dès que l'occasion se présente les ouvriers employés par son mari.<br />Chaque personnage de cette œuvre n'est jamais fait d'un seul tenant, au grée de leurs pérégrinations ils révèlent des facettes insoupçonnées de leur personnalité.<br />A la vision de ce film, nous sommes constamment oppressés par un sentiment de malaise tant il s'en dégage un parfum vénéneux. <br />De manière générale, voilà le genre d'effet que procure le cinéma de Russell, un inconfort, une mise à mal de toutes nos idées préconçues et un chamboulement de notre esprit qui se révèlent tout bonnement salutaire; la fadeur n'a pas lieu d'être ici qu'on se le dise.<br />Quant au cinéma italien, c'est encore une autre histoire car des années 50 jusqu'au début des années 70, il a été un vivier fertile de scénaristes, de cinéastes, d'acteurs et de compositeurs qui ont éclaboussés de leur talent les écrans de cinéma et qui on su mieux que personne, à travers leurs films dramatiques ou comiques, retranscrire les mœurs de ces différentes époques.<br />En plein cœur des années 70, ce sera le cinéma de genre italien qui prendra alors le relais et éclipsera les grands maîtres d'antan. Durant une décennie, il offrira à son tour son lot d'images marquantes qui prendront fin dès l'arrivée dans les tristes années 80 de la télévision Berlusconienne qui ravalera tout par le bas. HARRY MAXnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-82967839473990101292016-12-10T11:33:08.167+01:002016-12-10T11:33:08.167+01:00Pour être hallucinant, il l'est. Quelle folie ...Pour être hallucinant, il l'est. Quelle folie habitait Ken Russell pour le doter d'une telle imagination ? Je rêve de revoir ses films sur grand écran, ressentir à nouveau le vertige de ses décors à géométrie lysergique. C'est un acide à lui tout seul ce mec.<br />Je passe vite fait sur les acteurs et actrices, mais il y aurait beaucoup à dire sur ceux de sa période anglaise, Oliver Reed évidemment, mais aussi Vanessa Redgrave, absolument démentielle dans son rôle de nonne psychotique dans Les Diables. Et de manière générale, l'ensemble du casting de ce film, Georgina Hale, la femme aux lipstick vert par qui le scandale arrive, que l'on retrouve dans plusieurs autres films de Ken Russell mais aussi dans McVicar aux côtés de Roger Daltrey. L'impayable Michael Gothard, l'exorciseur possédé, plus taré à lui seul que toutes les putains du couvent réunies ! Avec sa tronche à jouer dans Jefferson Airplane, il me régalait déjà dans Arthur le roi des Celtes, une série diffusée le midi sur Tf1 à la fin des années 70 (si l'un de vous s'en souvient qu'il se manifeste))).<br />C'est quand même dingue que le cinéma anglais ait été réduit à Hugh Grant et Andie McDowell alors qu'il a donné des pointures comme Charles Laughton, Richard Burton, Liz Taylor, Peter Cushing, Michael Caine, Alfred Hitchcock aussi bien sur et Bob Hoskins ! Comme le cinéma italien, finalement, il n'en reste plus grand-chose.<br />Heureusement pour nous, qu'on a Omar Sy...)))))RanxZeVoxhttps://www.blogger.com/profile/17468021829438591697noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-3122829445267868799.post-57538137919221751332016-12-10T01:44:36.271+01:002016-12-10T01:44:36.271+01:00La curée pour un prêtre, le lynchage médiatique et...La curée pour un prêtre, le lynchage médiatique et vulgaire pour un danseur étoile qui n'est que grâce et légèreté... le mal n'est jamais où on l'attend. Les ombres aux tableaux de la société avec lesquels nous devons cohabiter et combattre, Ken Russel est comme Zola ou un Jean Renoir, mais à la sauce baroque et incandescente, aussi comme les tableaux de Mozart dans le film de Milos Forman, et malgré des scènes totalement hallucinantes, la lecture est très... évidente ;)Le cabinet des rugositéshttps://www.blogger.com/profile/06250804083689674265noreply@blogger.com